Réseaux de surveillance de la qualité de l'air : Rapport 2005 |
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11.2.5. Réseau poussières sédimentables Groupe de Basècles Ces stations se situent à proximité d’une usine d’engrais et d’un incinérateur. Les retombées sont basses pour tous les éléments et relativement stables (Tableau 132). Pour la station PSBA02, on a observé une 8ème période riche en métaux et, tout particulièrement, en chrome et nickel, avec, comme conséquence, une forte augmentation de la moyenne annuelle de ces deux éléments. Après des années de régression, les fluorures restent maintenant à un niveau faible (en 1999, on enregistrait encore une médiane de 0.18 mg/m².j).
Tableau 132 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Basècles - Résultats 2004 et 2005 Depuis le début des mesures en 1988, les retombées totales ont lentement diminué avec une tendance à la stabilisation ces dernières années pour le poste PSBA01. Par contre, pour la jauge PSBA02, on observe une faible augmentation entre 2002 et 2004 (Figure 67).
Figure 67 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Basècles Groupe de Vaulx-Antoing-Gaurain La zone surveillée couvre un vaste territoire comportant plusieurs sites d’exploitation de carrières, ainsi qu’une cimenterie. Les deux jauges de Barry (PSVX14 et PSVX15) permettent d'étudier l'influence d'une briqueterie (analyse des fluorures). Les différents points de prélèvement sont repris sur la Carte 14.
Carte 14 : TOURNAI - Stations de mesure (11.4 Mo) Bien que plus basses que par le passé, les retombées en matières totales de ce groupe restent importantes, surtout pour les stations PSVX02, PSVX05 et, dans une moindre mesure, PSVX07, ces stations étant caractérisées par des valeurs excessives (Tableau 133). La station PSVX05 est située au pied d’une carrière tandis que dans le cas de la jauge PSVX02, le charroi provenant de cette carrière serait responsable des retombées élevées. Le minimum est mesuré à la jauge PSVX06 qui est la plus éloignée des sources et située dans le centre de Tournai. Par rapport à 2004, on observe une très légère augmentation des retombées pour l’ensemble du groupe. Au niveau individuel, on retiendra l’augmentation à la jauge PSVX05, où les trois dernières périodes ont dépassé les 1000 mg/m².j., ou la diminution de la moyenne au point PSVX15. Pour ce dernier, la moyenne élevée de 2004 s’expliquait par une 7ème période particulièrement chargée. Dans un environnement de carrières et de cimenteries, la teneur en calcium des retombées est importante et peut monter parfois jusqu’à 20 %. Les retombées en métaux sont dans les fourchettes habituelles et sont plus ou moins stables. Les retombées en fluorures des deux jauges de Barry peuvent toujours être considérées comme élevées malgré une forte diminution, visible pour les deux points. Le groupe se classe d’ailleurs en seconde position pour l’ensemble des groupes de Wallonie, après celui d’Engis.
Tableau 133 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Vaulx-Antoing-Gauraing - Résultats 2004 et 2005 Les jauges composant ce groupe surveillent plusieurs sources différentes et il est difficile de donner une tendance unique pour toutes ces jauges. Cependant, la tendance à long terme pour les retombées totales est le plus souvent à la baisse, ce qui n’exclut pas des augmentations passagères (Figure 68, les échelles des graphiques sont parfois différentes selon les postes). A la jauge PSVX07, la croissance observée à partir de 2000 semble s’être inversée.
Figure 68 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Vaulx-Antoing-Gauraing Groupe de Lessines Ces stations sont à proximité d’une carrière de porphyre à Lessines et d’un autre site d’extraction. Les retombées de ce groupe sont importantes (Tableau 134) avec de fortes valeurs au poste PSLE03 où on enregistre régulièrement des périodes très chargées (au-delà de 350 mg/m².j). Par rapport à 2004, on note une légère augmentation pour l’ensemble du groupe et pour chaque jauge individuellement.
Tableau 134 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Lessines - Résultats 2004 et 2005 L’évolution à long terme varie suivant les points de mesure (Figure 69). A la jauge PSLE01, on a observé une faible baisse jusqu’en 1999, suivie d’une légère remontée ces dernières années. A la station, PSLE02, la tendance est à la stabilité tandis qu’à la jauge PSLE03, on note plutôt une augmentation.
Figure 69 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Lessines Groupe d’Ath Les deux stations composant ce groupe sont implantées à proximité d’une entreprise de production de sels de métaux non ferreux (Tableau 135). Si les retombées en matières totales sont très faibles, les retombées en métaux lourds sont élevées, surtout pour le cadmium, le chrome, le nickel et le plomb. Pour ces quatre métaux, le groupe d’Ath se classe en première position des sites les plus pollués. La norme allemande (TA-Luft, Technical Instruction On Air Quality Control -2002) est dépassée pour le cadmium (2µg/m².j), le nickel (15 µg/m².j) et le plomb (0.100 mg/m².j).
Tableau 135 : Réseau poussières sédimentables - Groupe d’Ath - Résultats 2004 et 2005 Par rapport à 2004, les retombées en cadmium, chrome et nickel montrent une diminution au contraire des retombées en plomb qui sont à la hausse. Les niveaux en cadmium sont restés constants de 1992 à 1996 pour augmenter jusqu’en 1999. A la jauge PSAT02, l’augmentation s’est poursuivie avec un maximum en 2001 puis a lentement diminué alors qu’à la jauge PSAT01, le cadmium a diminué jusqu’en 2000 pour ensuite augmenter lentement ces dernières années (Figure 70).
Figure 70 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme – Retombées en cadmium - Groupe d’Ath De 1994 à 1998, les retombées totales ont diminué régulièrement pour les deux jauges composant ce groupe (Figure 71); depuis, la jauge PSAT01 continuait à diminuer tandis qu’on observait une faible remontée à la jauge PSAT02.
Figure 71 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe d’Ath Groupe de Frasnes-lez-Anvaing Ces 3 postes ont été implantés à la fin de 1993 pour mesurer l’influence d’une usine de fabrication d’engrais. Les retombées en poussières de ce groupe sont faibles et relativement stables bien qu’on note une légère augmentation pour l’ensemble du groupe (Tableau 136). Les teneurs en métaux sont également faibles et stables. Les retombées en fluorures sont plus élevées que dans la plupart des autres groupes sans toutefois atteindre des niveaux élevés comme à Engis. Les fluorures ont diminué depuis le début des mesures avec des interruptions entre 1996-1999 et 2002-2004, pour la jauge PSFA02, et entre 1999 et 2001 pour les deux autres stations. Alors que les retombées en fluor sont actuellement plus ou moins stables pour les jauges PSFA01 et PSFA03, la tendance à la hausse de la jauge PSFA02 semble bien s’être inversée mi-2003.
Tableau 136 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Frasnes-lez-Anvaing - Résultats 2004 et 2005 A long terme, on observe des variations telles qu’il est difficile de dégager une tendance (Figure 72).
Figure 72 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Frasnes-lez-Anvaing Groupe de Clabecq L’activité surveillée par ce groupe est de type sidérurgique. Jusque 2001, ce groupe pouvait se décomposer en 3 sous-groupes : un pour les jauges PSCQ01 et PSCQ02 dont les retombées étaient faibles, un deuxième sous-groupe pour les jauges de la rue de l’Alliance (PSCQ05 et PSCQ06) dont les retombées étaient élevées et les jauges du quartier du Plat Quertin (PSCQ03 et PSCQ04), zone proche du traitement des scories et dont les retombées étaient élevées et même très élevées à la jauge PSCQ03 (moyenne annuelle de 892 mg/m².j en 2000). Depuis 2002, la situation a totalement changé par l’arrêt d’une partie des activités; les teneurs en matières totales ont chuté à toutes les stations et les retombées du groupe peuvent même être qualifiées de faibles et sont stables depuis 2003 (Tableau 137). Comme les retombées totales, les teneurs en éléments traceurs comme le calcium et le fer ont diminué de même que tous les métaux habituellement liés à une activité sidérurgique comme le chrome, le nickel et le manganèse et les niveaux sont bien plus bas que ceux enregistrés dans des sites sidérurgiques en activité comme à Seraing ou à Charleroi. A titre d’exemple, en 2000, les retombées en chrome étaient égales à 49 µg/m².j pour l’ensemble du groupe et la moyenne annuelle à la jauge PSCQ03 s’élevait à 671 µg/m².j. Entre 2004 et 2005, les niveaux en chrome et nickel ont continué à baisser. Le plomb et le zinc ont suivi la même évolution mais de manière moins marquée.
Tableau 137 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Clabecq - Résultats 2004 et 2005 Jusqu'en 1998, les retombées totales ont diminué (Figure 73). Puis, de 1998 à 2000, on remarque une augmentation, particulièrement importante pour la jauge PSCQ03 (Quartier du Plat Quertin) atteignant des niveaux excessifs. Enfin, depuis 2001, la tendance s’est inversée, les niveaux ont chuté pour toutes les stations et sont stables depuis 2003.
Figure 73 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Clabecq Groupe de Rebecq Jusque juin 2000, ce groupe destiné à quantifier l’influence d’une carrière se composait de deux stations. En 2000, deux stations supplémentaires ont été installées dans le quartier de la Cité de la Vallée, quartier fort touché par la problématique des poussières et où des plaintes ont été enregistrées (PSRQ03 et PSRQ04). Les retombées pour ce groupe sont élevées, surtout pour la jauge PSRQ04 (Tableau 138). D’une période à l’autre, les retombées peuvent varier fortement. Ainsi, à la jauge PSRQ04, on enregistre parfois des périodes peu élevées comme la première période de 2005 mais aussi des périodes très chargées et même dépassant les 600 mg/m².j comme ce fut le cas pour les deux dernières périodes. Par rapport à 2004, il y a peu de changement pour le groupe mais une augmentation de la moyenne annuelle au poste PSRQ04, causée par ces deux périodes chargées.
Tableau 138 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Rebecq - Résultats 2004 et 2005 Pour les deux premières jauges, on constate depuis plusieurs années une diminution lente des retombées (Figure 74). Pour les deux dernières stations, la tendance semble également être à la baisse jusqu’en 2003, puis la jauge PSRQ03 a continué à diminuer ces deux dernières années tandis que la jauge PSRQ04 augmentait.
Figure 74 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Rebecq Groupe de Feluy-Seneffe Ce groupe est sous l’influence des industries voisines (zoning de Feluy), parmi lesquelles on compte plusieurs industries chimiques. Les retombées totales du groupe sont faibles (Tableau 139), malgré l’augmentation enregistrée à la jauge PSFE02 pour la seconde année consécutive. A ce point, on a observé des périodes avec des retombées faibles mais également quelques périodes élevées et même une période très élevée (568 mg/m².j). Les retombées en métaux sont également faibles, dans les fourchettes habituelles et stables sauf pour le cadmium et le plomb qui ont tendance à augmenter.
Tableau 139 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Feluy-Seneffe - Résultats 2004 et 2005 Les retombées totales ont diminué jusqu'en 1997-1998, puis se sont stabilisées hormis quelques sauts brusques mais passagers (Figure 75). A la jauge PSFE02, on observe, depuis 2004, une augmentation des retombées.
Figure 75 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Feluy-Seneffe Groupe de La Louvière Ce groupe de 4 stations assure la surveillance d’un environnement influencé par les outils sidérurgiques installés à La Louvière. Les retombées pour les stations de ce groupe sont faibles et stationnaires (Tableau 140). Les dépôts en métaux sont également peu élevés avec toutefois des retombées caractéristiques d’un milieu sidérurgique (fer, chrome, nickel et manganèse) mais à des niveaux beaucoup moins importants que pour des groupes comme Charleroi ou Seraing. Par rapport à 2004, on observe une augmentation importante des retombées en cadmium, chrome, nickel, plomb et zinc.
Tableau 140 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de La Louvière - Résultats 2004 et 2005 Depuis 1992, les retombées totales de toutes les stations ont fortement diminué jusqu’en 1997-1998, puis se sont stabilisées ces dernières années (Figure 76).
Figure 76 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de La Louvière Groupe d’Obourg Les stations appartenant à ce groupe sont directement sous l’influence des retombées émises par une cimenterie. La localisation des différents postes est reprise à la Carte 13. Les retombées totales sont faibles et relativement stationnaires (Tableau 141). Historiquement, les jauges PSMO02 et PSMO05, qui sont proches de la cimenterie et plus ou moins dans l’axe des vents dominants, recevaient des retombées plus importantes que les autres jauges. Actuellement, la différence avec les autres jauges s’estompe mais les retombées y restent plus riches en calcium. Par rapport à 2004, il y a peu d’évolution sauf l’augmentation de la moyenne annuelle au poste PSMO05, augmentation causée par une 6ème période très chargée (891 mg/m².j), alors que les autres périodes sont restées à de faibles niveaux. Les teneurs en métaux et fluorures sont généralement faibles et évoluent peu d’une année à l’autre.
Tableau 141 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Mons-Obourg - Résultats 2004 et 2005 Les retombées totales ont diminué jusque la seconde moitié des années nonante pour, ensuite, se stabiliser (Figure 77).
Figure 77 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Mons-Obourg Groupe de Tertre Les 3 stations de ce groupe sont sous l’influence des entreprises du zoning de Tertre, dont notamment une usine de traitement du manganèse et du cuivre. Il faut également mentionner la présence proche de la centrale électrique de Baudour. Les retombées totales sont faibles, sauf pour le poste PSTT02 qui présente des valeurs plus élevées; cette jauge est installée directement sur le site industriel (Tableau 142). Par rapport à 2004, on constate une certaine stabilité pour le groupe. Les dépôts en manganèse peuvent être qualifiés de très élevés, tout particulièrement aux jauges PSTT01 et PSTT02, en comparaison avec la limite supérieure de 0.250 mg/m².j, retenue pour les critères de qualité de l’ISSeP. Toutefois, ces retombées en manganèse sont en constante diminution depuis 1998. Ainsi, au poste PSTT02, les dépôts en manganèse n’ont jamais été si faibles ; en 1995, on y mesurait encore 30.69 mg/m².j. Si pour l’ensemble du groupe, les retombées en cuivre sont peu élevées, la jauge PSTT02 enregistre des valeurs importantes. Les dépôts en cadmium, plomb et en zinc sont également plus élevés à cette station qu’aux deux autres.
Tableau 142 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Tertre - Résultats 2004 et 2005 Les retombées totales ont diminué régulièrement jusque la fin des années nonante pour se stabiliser ces dernières années (Figure 78, les échelles varient selon les graphes). De temps en temps, on note de brusques sauts causés par des périodes plus élevées comme ce fut le cas pour la 4ème période de 1996 pour la jauge PSTT03.
Figure 78 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Tertre Groupe d’Harmignies Les deux stations composant ce groupe contrôlent l’influence d’une cimenterie sur l’environnement. Les retombées en matières totales sont globalement faibles et stables (Tableau 143). Les dépôts en métaux toxiques sont également bas et évoluent peu. Parmi les faits les plus marquants en 2005, il faut retenir, à la jauge PSHA02, une 5ème période fort chargée et riche en métaux avec, comme conséquence, une augmentation de la moyenne annuelle des retombées en cadmium.
Tableau 143 : Réseau poussières sédimentables - Groupe d’Harmignies - Résultats 2004 et 2005 Jusque 1998, on note une diminution régulière des retombées totales des deux jauges, suivie d’une période de stabilisation entre 1998 et 2000 (Figure 79). Puis, en 2001, la tendance semble plutôt être à la hausse pour revenir à la baisse en 2003. En 2002 et 2003, on a subit quelques périodes chargées qui expliquent les sauts brusques sur l’évolution à long terme.
Figure 79 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe d’Harmignies Groupe de Cuesmes Ce groupe assurait la surveillance des retombées dans un environnement influencé par une usine d’engrais, où la production a été arrêtée. Les retombées sont faibles, aussi bien pour les matières totales, que pour les éléments toxiques et les fluorures (Tableau 144). Par rapport à 2004, on n’observe pas d’évolution particulièrement significative. Les moyennes annuelles en chrome et nickel sont revenues à leur niveau de 2003, l’augmentation de l’année dernière n’étant due qu’à une seule période riche en ces deux métaux.
Tableau 144 : Réseau poussières sédimentables - Groupe de Cuesmes - Résultats 2004 et 2005 Depuis 1989, la tendance générale pour les retombées totales est à la baisse avec, toutefois, une stabilisation ces dernières années (Figure 80). Pour le poste PSCU01, le saut brusque observé en 1997-1998 provient d'une 10ème période en 1997 très élevée (1962 mg/m².j).
Figure 80 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Groupe de Cuesmes Station d’Ecaussines Cette jauge se situe dans le zoning de Feluy (industries chimiques) et à proximité d’une usine de charbon actif. Les retombées totales de cette jauge sont élevées et en augmentation pour la seconde année consécutive (Tableau 145). Toutefois, la moyenne reste inférieure aux niveaux très élevés, mesurés par le passé (moyenne de 1174 mg/m².j en 1999). En 2005, on a mesuré un maximum de 528 mg/m².j alors qu’avant 2000, on dépassait régulièrement les 1000 mg/m².j Les dépôts en métaux sont dans les fourchettes habituelles, sauf pour le chrome et le nickel pour lesquels les niveaux sont légèrement plus importants, sans atteindre des valeurs élevées. On note d’ailleurs une diminution de ces deux paramètres, rejoignant ainsi les niveaux de 2003.
Tableau 145 : Réseau poussières sédimentables - Station d’Ecaussines - Résultats 2004 et 2005 De 1989 à 1992, les retombées de ce groupe ont augmenté (Figure 81). Entre 1992 et 1994, on note une diminution puis une augmentation de 1994 à 1997. Depuis, les retombées ont fortement diminué et se sont stabilisées à un niveau minimum ces cinq dernières années avec, toutefois, une très légère remontée en 2004-2005.
Figure 81 : Réseau poussières sédimentables - Evolution à long terme - Station d’Ecaussines |
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